magentaparoles et musique: Bertrand Wiel
tremble l’oreiller, j’attends ta danse pour vibrer
lune a moitie pleine, danse livide, enfiévrée
puisse le silence cesser de se taire
j’espère le grincement des rideaux de fer
on se fait mordre par les draps quand on s’egare
dans les cauchemars d’être sans toit a magenta
tremblent les souliers, drôles de rames engouffrées
rue a moitie vide, a moitie peine, bouchonnée
les points cardinaux pour vivre se parquent
comme au bout du monde se joignent les arcs
on se fait mordre par le froid a chaque pas quand on s’égare
du nord au bas de magenta
on se fait mordre par le froid a chaque pas quand on s’égare
du nord au bas de magenta
comme au bout du monde
être sans toit a magenta
on se fait mordre par le froid a chaque pas
comme au bout du monde
être sans toit a magenta
on se fait mordre par le froid a chaque pas